L'expérience de Fabrice Hadjadj, juif converti au catholicisme, qui doit faire face à sa propre croyance. Selon lui, l'adversaire ne serait pas l'athée mais le croyant lui-même.
Insuffisamment prêché, le paradis semble apparaître comme un néant immaculé et monotone. Il n'est interprété que par des conceptions du bonheur terrestre et par des petits paradis artificiels, sans prendre en compte l'état de joie qu'il exige.